Processus pour la récupération de métaux
Ferrailles légères
Résidus de broyage automobile (RBA)
Déchets électriques et électroniques (D3E)
Piles
Mâchefers issus de l’incinération d’ordures ménagères
Scories métalliques et d’usines sidérurgiques
Recuperation de metaux a partir de fractions fines
Processus pour les déchets industriels
Avec une solution complète pour le traitement fin des résidus de broyage, BHS poursuit le processus de recyclage : des déchets qui auparavant auraient été déposés en décharge ou incinérés sont désormais réintégrés dans le cycle des matériaux et réutilisés de manière rentable. Cette solution combine la technique de broyage par impact et le processus de séparation physique et englobe toutes les étapes de processus, de l’alimentation en matériaux au dépoussiérage en passant par la séparation des différentes matières.
Au cours de la première étape du processus, les matériaux alimentés sont broyés et les matériaux légers sont séparés. C’est au cours de la deuxième étape du processus que les matériaux restants sont tamisés et séparés en fonction de leur épaisseur. Les produits finis sont des matériaux et fractions métalliques propres triés en fonction de leur type et de leur granulométrie.
Le cœur de l’installation est l’impacteur à rotor de type RPMV. Il broie les matériaux durs et cassants et transforme en billes les matériaux ductiles et métalliques. L’installation standard a un rendement d’environ 10 tonnes par heure. L’impacteur à rotor (RPMV) permet de séparer proprement les métaux non ferreux des autres matériaux.
À la fin du processus, toutes les fractions sont déposées au sein de trémies de stockage après avoir été proprement séparées. Outre les métaux précieux susmentionnés tels que l’or, l’argent et le platine, la fraction des métaux non ferreux contient également une quantité importante d’aluminium, de cuivre et de laiton, qui peuvent également être commercialisés. En fonction de la composition des matériaux alimentés, l’installation de traitement fin de BHS récupère entre 3 et 5 % de métaux non ferreux commercialisables à partir des matériaux résiduels.
Le fait que le processus soit presque intégralement automatisé et que l’installation complète ne doive être commandée et surveillée que par un seul collaborateur a également un impact positif sur les coûts. Enfin, un autre collaborateur consacre environ la moitié de son temps de travail à la logistique liée aux matériaux.